Les gens ont peur de la vérité. Si ce n’était pas le cas, on n’en serait pas là, selon l’ancien ministre de l’Intérieur Ousmane Ngom.
Prenant part à la cérémonie d’ouverture du dialogue national il a signalé que les problèmes qui sont notés depuis le début du processus électoral ne devraient pas être poussés jusque-là. « Il y a eu des candidats injustement éliminés par le Conseil constitutionnel, les doubles nationalités, les suspicions au sein du Conseil constitutionnel, entre autres, méritent d’être clarifiées », a dit Ousmane Ngom.
Et s’adressant au président Macky Sall, il dira : » Même si vous avez terminé votre mission, vous avez le devoir de ne pas laisser le pays dans cette situation. »